Nous aussi, comme vous sans doute, nous passons un temps fous à nous régaler devant certains blogs américains… et pas seulement les blogs de mariage, car vous pourrez trouver une multitude de bonnes idées sur les blogs créatifs ou plus orientés “déco” et “lifestyle”.

Si vous ne les connaissez pas encore, c’est l’occasion de vous les présenter, à travers six projets DIY parfaitement adaptés à des mariages, les six projets que nous aurions aimé avoir imaginés.

1. Les ballons pomponnés de Design Improvised. LE projet que j’ai vraiment hâte d’avoir l’occasion de tester tant je le trouve mignon et facile à réaliser. Il vous suffit de quelques ballons décorés de cette façon pour égayer tout un pan de mur, une entrée, un Photobooth…

2. Les cake topper façon pierres précieuses, multicolores et joyeux, imaginés par l’auteur talentueuse de Design Love Fest, ma dose quotidienne de bonne humeur et d’idées inspirantes.

3. La guirlande de Barbe à Papa de Oh Happy Day que j’adore pour sa douceur et son humour. Je l’imagine à proximité d’un stand “Douceurs” dressé pour le cocktail.

4. Les Bensimon en dégradé de couleur tout doux de Lovely Indeed. Une mariée chaussée de Bensimon… c’est hyper mignon, non? Je l’imagine forcément danser dans un champ de fleurs sauvages jusqu’au petit matin et rien que cette image me fait sourire.

5. Le très joli projet proposé par les auteurs du blog de la marque Free People : des décalcomanies végétales fixées sur de grands morceaux de verre dépoli. Le projet parfait pour un mariage bohème.

6. Les ravissantes couronnes de fleurs de Jasmin proposées par l’auteur du blog Ruffled que je trouve adorables et surtout très (très!) faciles à réaliser sans que ça ne vous coûte trop cher.

Et vous, quels sont vos projets chouchous en ce moment? N’hésitez pas à partager vos plus jolies trouvailles avec nous dans les commentaires!

Vous connaissez probablement déjà les créations en bois flotté peint de l’illustratrice Ginette LaPalme. Ce sont ces petits bâtons aux couleurs éclatantes et tendres qui m’ont donné l’idée de ces marque verre, très amusants à réaliser et parfait pour décorer la table d’un mariage haut en couleur.

Réalisés à partir de pinces à linge à l’ancienne, il suffit d’en offrir un à chaque convive pour l’aider à repérer son verre tout au long de la soirée. Et si vous ajoutez une étiquette au nom de chaque invité, vous obtenez de jolis marque-places.

Le matériel dont vous avez besoin :
– Autant de pinces à linge anciennes que vous avez d’invités
– De la peinture acrylique de bonne qualité
– De la peinture acrylique or et argent
– De pinceaux et de tout le matériel lambda pour la peinture (palette, eau…)
– De vernis propre au contact alimentaire
– De verres vides

1. Préparez votre plan de travail et vos outils. Prévoyez notamment un verre vide par personne, pour faire sécher chaque pince une fois peinte. Vous trouverez des sachets de pinces à linge anciennes dans de nombreux magasins de déco (en ligne, c’est très facile d’en trouver).

2. Préparez maintenant votre palette de couleurs. Pour les pinces photographiées, j’ai presque toujours ajouté du blanc (en plus ou moins grande proportion) aux pigments de base. Prévoyez une quantité de couleur suffisante et n’oubliez pas que l’acrylique sèche vite, il vous faudra donc renouveler régulièrement vos couleurs.

3 et 4. Commencez par peindre des bandes de largeur et de couleur différentes, en laissant ici et là une bande non peinte. Pour vous aider à peindre “droit”, habituez-vous à faire une rotation de la pince, et non du pinceau. Pensez à charger abondamment votre pinceau en peinture pour un rendu plus couvrant et pour éviter d’avoir à passer plusieurs couches et n’hésitez pas à varier la taille de votre pinceau. N’oubliez pas, enfin, de peindre le petit chapeau au sommet de la pince.

5. Laissez sécher pendant une heure ou deux. Ensuite, ajoutez des petites choses : une bande de doré ici, des zigzags là, un filet ici, des points multicolores là… à vous de voir. Ne zappez pas cette étape, c’est ce qui donne – à mon avis – leur charme à ces petites pinces. SI vous ne vous sentez pas le coup de pinceau précis, vous pouvez aussi utiliser des feutres acrylique qui fonctionnent très bien (mais seront beaucoup moins couvrants).

6. Pour finir, vaporisez ou passez au pinceau une couche ou deux de vernis propre à la consommation alimentaire… si vous en trouvez. Sinon, une couche de vernis ordinaire fera l’affaire, sachant qu’en principe, les marque-verre servent plutôt à marquer les verre vides. Laissez sécher le temps indiqué et voilà!

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Les bâtons d’étincelles, on en voit de plus en plus souvent dans les mariages et j’adore l’ambiance féérique qu’ils donnent à la soirée. Voici donc aujourd’hui de quoi les habiller joliment pour les offrir à vos invités.

Le matériel qu’il vous faut :
– Le fichier à télécharger et imprimer
– Des bâtons d’étincelles
– Du papier kraft (par exemple des enveloppes)
– Du papier à dessin
– Une perforatrice petit format
– Des feuilles artificielles
– Un peu de double face

1. Téléchargez, personnalisez (si vous le souhaitez) et imprimez les deux fichiers. Le premier – celui avec les fleurs – sur du papier à dessin et le deuxième sur du papier kraft. Il est possible que vous ayez du mal à trouver du Kraft au format A4, dans ces cas-là, j’utilise des enveloppes que je recoupe au format désiré. En principe, le papier kraft, ainsi que le papier à dessin, supportent très bien l’impression à jet d’encre de votre imprimante perso.

2. Percez deux petits trous, à mi-hauteur environ de l’étiquette fleurie à l’aide d’une perforatrice mini-format (on en trouve dans les magasins de loisirs créatifs).

3. Positionnez les bâtons d’étincelle sur l’étiquette et, à l’aide de la tige métallique des petites feuilles artificielles, ficelez-le en passant par les trous réalisés à l’étape précédente. Vous pouvez trouver ces feuilles artificielles dans de nombreux magasins de loisirs créatifs, mais pour information, celles-ci proviennent de La Droguerie (Rue du jour, à Paris).

4. Positionnez l’étiquette fleurie sur le papier kraft et fixez-la à l’aide d’un peu de colle ou de double-face. Repliez le battant, puis repliez-le une deuxième fois pour le refermer, en fixant au double-face. C’est prêt!

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Un petit projet tout simple aujourd’hui, qui pourra vous être utile dans plein de situations. Pour envoyer des Save the date, demander à vos plus chers amis d’accepter d’être vos témoins ce jour-là, élaborer le plan de table ou remercier…

Voilà un DIY inratable, mais qui fera son petit effet (tout le monde pensera que vous avez peint vous-même chacune des cartes).

Le matériel dont vous avez besoin :
– Du fichier téléchargeable et imprimable
– De papier à dessin blanc à grain, en 180gr/m2
– Un cutter et une paire de ciseaux
– Une règle
– Un bâton de colle blanche

1. Si vous le souhaitez, vous pouvez personnaliser vos enveloppes directement dans un logiciel type Photoshop, avant de l’imprimer. Ici, j’avais envie que le texte semble calligraphié et, n’ayant aucun talent de calligraphe, j’ai opté pour l’option “fake”. Mais bien entendu, rien ne remplacera votre écriture manuscrite, si vous savez tracer de belles lettres. Lorsque vous avez fait votre choix, imprimez-le sur du papier à dessin à grain. C’est ce qui donnera l’illusion que la peinture à l’aquarelle a été faite à la main.

2. Lorsqu’il est imprimé dans l’une des trois couleurs au choix, découpez soigneusement votre planche, au cutter, mais sans couper les angles de l’enveloppe, ni les arrondis.

3. Les angles et les arrondis seront plus faciles à couper maintenant, à l’aide d’une paire de ciseaux. Attention, soyez le plus précis possible en coupant les petits triangles : ils vous serviront de guide dans l’étape suivant, pour le pliage.

4. Lorsque votre enveloppe est correctement découpée, utilisez la pointe retournée de votre cutter (côté non coupant, donc) pour marquer les plis. C’est tout simple, il suffit de relier entre elles les petites pointes à l’aide d’une règle et de tracer une ligne au cutter, comme si vous découpiez, sauf qu’ici, cela ne fera que marquer les plis.

5. Pliez soigneusement chaque rabat. Lorsque les plis sont bien marqués, rabattez les ailes latérales vers l’intérieur.

6. Vous n’avez plus qu’à encoller les bords du rabat dont la pointe est coupée. Laissez sécher quelques minutes, et… à la suivante!

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Le semaine dernière, quelques heures après que Kim, notre stagiaire, ait publié ce billet sur la façon d’organiser la signalétique de son mariage, je tombais sur cet autre billet, écrit par Laetitia, de la fine équipe des Do It Yvette, et qui parlait d’un outil presque magique pour éditer des cartes routières : Stamen.

Je ne pouvais pas passer à côté de cette information qui vous permet d’éditer une carte façon “aquarelle” en rentrant simplement l’adresse que vous recherchez. Voici donc aujourd’hui quelques astuces pour tirer parti de cet outil carrément génial et proposer une jolie carte routière à vos invités, pour les aider à se repérer dans l’itinéraire, quelquefois compliqué, de votre belle journée.

1. Allez sur le site de Stamen. Entrez l’adresse de la ville où du lieu qui vous intéresse. Une fois que la carte apparaît, ajustez le niveau de détail avec les flèches de zoom. Ensuite, cliquez sur “Watercolor”, puis sur la flèche jaune qui ouvrira la page d’édition.

Cette fois, cliquez sur le bouton “Image”, puis, dans la page suivante, sur “Make”. Au besoin, si une carte ne suffit pas à couvrir tout votre périmètre, éditez plusieurs images et assemblez-les ensuite dans un logiciel d’image, type Photoshop.

Maintenant, rendez-vous sur Mappy, ou tout autre logiciel proposant des cartes routières : vous allez avoir besoin de quelques noms de routes ou lieux dits et Mappy vous aidera à les positionner correctement sur votre plan. Lorsque vous avez ce que vous voulez, faites une impression d’écran et sauvegardez-la. (suite…)

J’adore les petites ombrelles en papier. Depuis toujours. Petite, je faisais des pieds et des mains pour récupérer, autour de la table, celles qui avaient servi de déco aux cocktails des adultes et je les collectionnais précieusement.

Voilà un moment que je cherchais à les transformer d’une façon un peu inédite. J’avais adoré le projet de Jordan, publié l’année dernière sur Oh Happy Day et c’est ce qui l’a donné envie de vous proposer celui-ci.

Le matériel dont vous avez besoin :
– Des ombrelles en papier
– De la colle en bombe
– Une paire de ciseaux
– Du papier de soie
– Une perforatrice ronde

1. Choisissez de préférence des couleurs évoquant les fleurs : rose, rouge, jaune, orangé… et vert pour les sépales. Dans le papier de soie aux teintes de pétales, coupez, à l’aide de l’emporte-pièce, des pastilles rondes (2,5/3 cm de diamètre, c’est idéal). Dans le papier de soie vert, découpez, aux ciseaux, une série de goutte (coupez plusieurs épaisseurs à la fois).

2. Choisissez un petit parasol, de préférence de couleur coordonnée au papier, et ouvrez-le au maximum en le bloquant à l’aide de la petite bague en plastique. Vaporisez toute la surface de colle en bombe. Choisissez un endroit aéré pour cela et pensez à bien hydrater vos ongles et vos mains de façon à ôter facilement le surplus qui pourrait se déposer sur vos doigts.

3. Collez, une à une, les pastilles de papier pour former le premier rang. Travaillez rapidement pour éviter que la colle ne sèche.

4. Procédez de la même façon pour le second rang, en faisant attention à décaler les pastilles pour éviter qu’elle ne se superposent. Vous verrez que l’espace de contact pour le collage est déjà très réduit, mais ne vous en faites pas, la colle tient très bien.

5. Ajoutez à présent un troisième rang. Ici, j’ai changé de couleur, mais bien entendu, à vous de décider des vôtres.

6. Ajoutez maintenant les sépales, comme sur la photo, c’est-à-dire sans oublier de les faire remonter jusqu’à la pointe de l’ombrelle. Les sépales vont se chevaucher, et c’est ça qui donnera un joli effet. C’est l’étape la plus délicate, donc ne vous énervez pas : après un ou deux essais, vous maitriserez la technique.

7. Continuez à ajouter des sépales jusqu’à ce que le dôme soit recouvert. Comptez au moins cinq sépales par ombrelle pour un résultat équilibré. Lorsque toutes les sépales sont fixées, twistez la pointe pour lui donner une jolie forme.

8. Laissez sécher au moins une heure. Lorsque votre ombrelle est bien sèche, refermez-la légèrement pour obtenir un joli tomber. N’hésitez pas à renforcer l’aspect volanté de l’ombrelle en pinçant légèrement le papier à chaque baleine.

Cette semaine, un petit projet qui sent bon les vacances et le soleil. Un cadeau à rapporter à vos invités de retour de votre voyage de Noces, si vous vous envolez vers le soleil. C’est tout simple à réaliser et ça fera forcément son petit effet.

Ici, le coquillage porte-bonheur utilisé pour les photos est un grain de café (inutile de partir au bout du monde pour en collecter : on en trouve sur de nombreuses plages françaises). Mais quelle que soit la plage où vous vous trouvez, en demandant aux habitants, vous découvrirez presque à coup sûr un petit coquillage réputé porter bonheur. En Corse, par exemple, c’est l’œil de Sainte Lucie. Et puis j’aime bien l’idée de passer du temps sur la plage à la recherche d’un petit cadeau destiné à chacune des personnes présentes lors de son mariage.

Le matériel dont vous avez besoin :
– Le fichier téléchargeable et imprimable
– Du papier Bristol
– Des coquillages et du sable rapportés de vacances
– Un petit flacon de verre
– Du fil métallisé (celui des sacs de congélation est parfait)
– Du double face

1. Imprimez le fichier à télécharger, sur une feuille de papier Bristol. J’utilise toujours celui de la marque Micro Applications qui n’est pas trop cher et dont le grammage est parfait (assez rigide pour avoir une bonne tenue et suffisamment souple pour être plié). Découpez et pliez toutes les lignes, sans oublier les côtés des deux triangles roses. Si vous possédez un plioir, c’est encore mieux.

2. À l’aide de double-face ou de colle, fermez la boîte en fixant le petit rabat à l’intérieur de la boîte.

3. Toujours au double-face, encollez maintenant le fond.

4. Terminer votre montage en fermant le couvercle de votre mini carton de lait. En principe, il devrait se fermer de lui-même, sans que vous ayez à forcer, si vous appuyez avec les pouces sur chaque triangle coloré. Lorsque celui-ci est bien en place, entaillez deux petites fentes à environ un centimètre d’écart l’une de l’autre, à laide d’un cutter.

5. Il est temps de vous occuper à présent de votre petit cadeau. Rien de plus simple : versez un peu de sable et ajoutez le coquillage, avant de reboucher le flacon. Maintenant, vous pouvez le glisser dans son écrin.

6. Dénudez le fil métallique de sa gaine de plastique. Bien entendu, si vous trouvez du fil aussi fin dans le commerce, inutile de vous compliquer la vie : utilisez du fil en bobine. Mais ceux des sacs de congélation sont d’une souplesse et d’une finesse parfaite.

7. Enfilez le fil dans les petites encoches découpées au cutter et refermez la boite, en tortillant le fil.

8. Imprimez et découpez maintenant la planche de cartes postales (n’oubliez pas de les personnaliser avant). Encollez le recto du polaroïd avec un peu de double-face.

9. Il ne vous reste plus qu’à y coller le dos de votre mini-carte postale, dans oublier de placer l’extrémité du fil de fer en sandwich entre les deux faces.

Quelques précisions à propos du fichier à télécharger. Vous trouverez, dans le document téléchargeable, deux types de boîtes. L’une, sur fond uni, dans aucune inscription, que vous pourrez, si vous le désirez, personnaliser à votre guise. J’ai aussi ajouté le modèle des photos d’illustration, avec les petits palmiers blancs, que vous pouvez donc également utiliser.

Vous trouverez enfin une planche de mini-cartes postales avec cette photo des Bahamas. À vous de la personnaliser avec votre propre petit mot, mais attention, ces cartes sont minuscules, pensez à y inscrire un petit texte très court, si vous voulez qu’il reste lisible.

Aujourd’hui, la team gourmande de choc menée par Chloé vous a concocté un super bar à glace avec de la papeterie imaginée par les filles d’Épouse-moi cocotte à télécharger ! Oh Yeah !

Je sais d’expérience que les gens raffolent des bars à glace les jours de mariage, d’autant que chacun peut se faire une glace à sa sauce en imaginant des associations : glaces + toppings + sauce  ! Voilà donc de chouettes idées de recettes et de mise en scène. Enjoy !

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Pépites de crumble

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Petites meringues

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Cornets et étiquettes

NB : On trouve les cornets chez Picard ou chez des artisans glaciers.

Jeanne a plusieurs cordes à son arc et c’est sûrement ce qui la rend aussi enthousiaste. Fondatrice de l’agence de production Nabie, elle a ensuite développé une branche pour les particuliers, Nabie dit oui, avec une bande de créatifs qui dépotent. Elle est en charge de la direction artistique des projets mais aussi de la coordination, car les passions 1ères de Jeanne c’est bien les listes et le DIY. Et vu qu’elle n’est jamais rassasiée et qu’avant tout l’art est une fête, elle a créée pour le plaisir le collectif Moï Moï avec ses amis d’enfance (Festival Baleapop…)

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Chloé a développé pour vous le Off-wedding culinaire.
Concocte votre joli buffet de mariage pétillant et coloré, … Prépare un déjeuner dans l’herbe autour d’un panier Pic Nic Chic, … Imagine un chaleureux dîner pour vos fiançailles ou votre mariage civil, … Anime des cours de cuisine pour L’EVJF ou l’EVG de vos amis.
Un air de Normandie, un joli sourire, des recettes à croquer…Chloé va chouchouter vos papilles !

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 Quand Laurence et Anouch ont lancé leur service d’event design on a littéralement fondu devant leur univers et leur énergie.

Épouse-moi cocotte dépoussière le protocole en proposant une gamme de services créatifs et un brin farfelus. Leur mission : orchestrer la Direction Artistique de vos événements privés (mariages, anniversaires…) pour vous aider à concevoir un univers unique et rendre vos festivités inoubliables !

Elodie Winter aime raconter des histoires et rencontrer de nouvelles personnes. Elle se donne à fond dans sa mission, quitte à se rouler par terre.
Basée sur Strasbourg, elle voyage partout et agrandit sa liste d’amis au fil des contrats.
Sa capacité à rendre une ambiance et magnifier ce qui l’entoure a fait ses preuves à travers les mariages.
Toujours prête à rassurer une mariée et faire la fête avec les invités, son oeil reste à l’affût !

C’est à Shéhérazade, délicieuse auteure du blog “La petite pièce embuée” que nous devons ce projet ingénieux et charmant : un kit à offrir à ses invités pour les lendemains douloureux d’une soirée bien arrosée, où l’on a dansé, chanté et fait les fous jusqu’au petit matin. Certes, il faut retrousser ses manches pour les fabriquer, mais avouez que l’attention vaut largement la peine, non?

Attention, DIY très très très long !

Le matériel dont vous avez besoin (pour un kit):
– Du fichier à télécharger et imprimer
– Du papier blanc A4 un peu épais
– 2 carrés de tissu mousseline (type toile à beurre), de 15cm x 15cm (environ 7€ le mètre)
– 1 carré de papier sulfurisé 12cm x 12cm
– Ciseaux, colle, agrafeuse et scotch (“cristal” de préférence, celui qui brille et ne se déchire pas!)
– De la jolie ficelle
– Des graines de pensées (disponibles par exemple ici)
– Du thé en vrac (noir ou vert)
– Des pralines roses, ou autre friandises de petite taille
– 1 sachet d’infusion ou de thé type Détox, ou qui redonne la forme (ici il s’agit d’une infusion gingembre/ épices)

Avant d’aller plus loin , voici ce que recèle le kit “Une dernière goutte”. Dans cette pochette surprise en forme de goutte donc, vous trouverez plusieurs petits sachets. Il existe également un emballage en version Super Flemme. Il s’agit d’un rouleau tout bête inspiré des cornets de frites en papier journal : on enroule, on replie et ça tient tout seul ! Dans les deux versions, le mode d’emploi du kit est inscrit sur l’emballage. Le voici :

1- Faire chauffer de l’eau.
2- Faire tremper quelques instants les compresses Anti Œil de Chouette. Appliquer sur chaque œil. Bien respecter l’œil droit de l’œil gauche.
3- Faire une infusion avec la Potion Réparatrice.
4- Avaler quelques Friandises Reconstituantes.
5- Une fois que vous irez mieux, semer les graines de “Pensée pour Vous” et regardez pousser. Repensez à cette fête chaque fois que vous les admirez !

Voici la collection de petits sachets :
-Des compresses anti oeil de chouette, oeil droit ET oeil gauche
-Une potion réparatrice (toute ressemblance avec une gueule de bois sur l’étiquette est purement fortuite)
-Des friandises reconstituantes
-Une pensée pour vous, un petit sachet de graines de pensées à semer
-Un ticket “merci”, pour écrire un petit mot si on le souhaite

Shéhérazade a imaginé deux versions. Une version “Goutte” et une version “Flemme” qui propose un emballage sous forme de rouleau, plus rapide à confectionner si, par exemple, vous prévoyez d’en faire deux cent. Pour le reste, c’est vraiment très simple, les photos se passent presque entièrement d’explications. Allez hop ! C’est parti!

L’emballage “Goutte”

Petites infos complémentaires
Pour la version “Goutte”, les deux petites pattes “repliez-moi” ne nécessitent pas d’encollage. Elles servent à passer votre doigt ou un crayon à papier par exemple afin d’aider à faire contre appui et s’assurer que les languettes soient bien assemblées. Il suffit de les replier dans la boîte tout à la fin !

Pour vous faciliter la vie, empilez les sachets plats (Potion Reconstituante, Une Pensée pour Vous et le ticket Merci) avant de les glisser dans leur emballage et si vous souhaitez pousser un peu plus loin l’idée, rien ne vous empêche de glisser un Alka-Seltzer ou une vitamine C !

Pour ouvrir la goutte, il suffit de « dégoupiller » en déchirant la languette ouverture facile, puis de déchirer doucement sur le côté, comme indiqué !

L’emballage “Flemme”

Petites infos complémentaires
Pour la version “Flemme”, veillez à refermer sur le dessus avec le côté de l’imprimé coupé bien à ras, c’est plus joli ! Empilez les sachets plats (Potion Reconstituante, Une Pensée pour Vous et le ticket Merci) avant de les glisser dans leur emballage.

Vous pouvez scotchez aux extrémités si vous avez peur que le rouleau ne s’ouvre. La rigidité varie en fonction du papier.

Les petits trésors

Petites infos complémentaires
Le fait d’enrouler sur un centimètre la ficelle, permet aux compresses d’avoir une sorte de petite poignée, à la manière des pochons d’herbes aromatiques utilisées pour les massages asiatiques ;)

Pour les friandises, n’en mettez pas trop et veillez à ne pas serrer de trop afin de laisser un peu de jeu. Cela vous permettra d’étaler un peu si nécessaire lorsque vous glisserez le pochon dans la goutte.

Pour le sachet de potion réparatrice, vous pouvez utilisez des sachets individuels sous blister. Vous n’aurez qu’à coller ou agrafer. Dans tous les cas essayez de laisser le nom et la composition de l’infusion afin que vos invités sachent ce qu’ils vont avaler !

Enfin pour le sachet de graines à semer, vous pouvez utiliser autre chose que des pensées bien évidemment ! L’idée du terme « pensée » invite à laisser un petit quelque chose de cette date, toute fleur ou herbe aromatique conviendra.

Et pour vous aider dans le découpage des éléments…

Téléchargez votre emballage ainsi que les étiquettes.

Si vous choisissez l’emballage version flemme, imprimez en A4 (le format standard), échelle à 100% sans chercher à enlever les marges. Découpez par le milieu de la feuille à ras de chaque imprimé vos deux emballages. Une feuille A4 vous permet de faire 2 emballages en camaïeu : Bleu Goutte d’Eau et Bleu Nuit. Chacun conservera donc une petite marge blanche qui ne se verra pas.

Pour l’emballage de luxe, la forme de goutte d’eau, imprimez en A4 également en cochant “remplir la feuille en entier” dans la boîte de dialogue de votre imprimante. Découpez ensuite le contour orange de la forme.

Pour les étiquettes, ne cherchez pas à suivre précisément le contour, laissez simplement une petite marge blanche (1 ou 2 mm).

Shéhérazade Achour, 32 ans, aimant passer du temps dans la cuisine, ce qui est farfelu et observer de jolies choses, est l’auteur du ravissant blog “La petite pièce embuée“. Si vous aimez manger, ce qui est beau et que vous êtes un peu fou, il est fait pour vous.

Vous y trouverez donc des recettes, des astuces, de belles images, des souvenirs de voyages… Le point commun étant de se faire plaisir et faire plaisir selon les occasions, dans la vraie vie !

En ce moment, on a tous des envies d’été. Voici donc un projet aux couleurs de fleurs tropicales, de mangue et de soleil et dont les petits volants me font penser à des jupes faites pour danser. Aujourd’hui, on réalise des boules à froufrous pour la déco murale.

En fait, ici, c’est surtout la technique – très simple – qui est intéressante. Avec ce principe, on peut recouvrir un peu n’importe quoi : du carton comme ici, mais aussi des gobelets, des boules en papier chinois, ou même un mur complet pour faire un photobooth. Autre chose importante : c’est vraiment rapide (bon point si vous avez l’intention d’en préparer une cinquantaine donc).

Le matériel qu’il vous faut :
– du papier crépon
– du carton (ou le support de votre choix)
– du double face
– une paire de ciseaux

1. Commencez par couper des bandes d’environ 2,5 cm dans votre papier crépon. Vous pouvez couper directement dans le rouleau sans hésiter, c’est moins épais que ça n’en a l’air. Coupez autant de bandes que vous avez de couleurs.

2. Attention, c’est l’étape importante : sur un des côté de chaque bande lissez le papier crépon sur toute la longueur, en l’étirant doucement entre les deux pouces. C’est très facile à faire, il suffit juste de ne pas y aller trop fort, pour ne pas risquer de déchirer le papier qui est un peu fragile. Ne lissez qu’un seul des deux bords, c’est important pour avoir des froufrous.

3. Procédez de la même façon avec chaque couleur.

4. Sur une feuille de carton, découpez la forme de votre choix. Ici, un simple rond réalisé en utilisant une assiette comme repère. Ensuite, découpez-le, tout simplement.

5. Recouvrez votre cercle de double face, en espaçant chaque bande d’un peu moins d’un centimètre.

6. Vous pouvez commencer à coller vos froufrous. Attention : il faut coller le côté non lissé du ruban, bien droit le long du double face et sans tirer. Les volants se font tous seuls, vous n’avez rien de plus à faire.

7. Recouvrez de cette façon tout votre support, en commençant toujours par le bas. N’hésitez pas à laisser dépasser un peu de papier de chaque côté, vous le recouperez plus tard.

8. Et voilà, vous avez fait 80% du travail (en principe, ça ne vous as pas pris plus de 5mn à recouvrir).

9. Retournez votre boule et égalisez, à environ deux millimètres du bord du carton.

10. And voilà. Il ne vous reste plus qu’à la coller au mur, ou sur tout autre endroit que vous désirez décorer.

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Aujourd’hui, nous laissons la place une fois encore à Lætitia de Florésie, fleuriste-troubadoure talentueuse et habile pour un DIY tout fleuri. Après nous avoir expliqué comment réaliser une couronne de fleurs, elle nous raconte aujourd’hui les petits secrets d’une boutonnière fleurie… mais pas seulement : elle nous explique aussi comment la conserver fraîche et pimpante pour toute la journée. Merci encore Lætitia !!

Le matériel dont vous aurez besoin…
– Une pivoine
– Floratape (adhésif floral facile à se procurer sur internet ou chez les fleuristes)
– Pin-clip (ou Gala-clip, épingle à boutonnière)
– Du ruban
– De la verdure et des petites fleurs: ici du prunus, de la spirée, du thym et des “désespoirs du peintre” (ou heuchera)

La boutonnière se porte à gauche, épinglée sur le revers de la veste. Pensez-y en créant votre votre petit bouquet et n’hésitez pas à vous mettre devant un miroir pour l’essayer avant de la finaliser…

1. Coupez les tiges à une longueur de 10 cm environ et ôtez les feuilles. Composez le petit bouquet dans votre main en arrangeant les éléments autour de la pivoine.

2. Liez les tiges sur une longueur de 7 cm environ en les enroulant de floratape. Cet adhésif colle uniquement quand il est bien tendu. Si c’est la première fois que vous en utilisez, exercez vous sur une petite branche, vous serez ensuite plus à l’aise.

3. Coupez les tiges à la longueur finale, soit environ 4 cm et fixez l’épingle (galaclip) à l’arrière de la boutonnière avec du floratape en serrant bien sur toute sa longueur.

4. Décorez la tige avec un premier ruban en partant du bas vers le haut. Le floratape est adhésif des deux côté, ce qui devrait bien vous aider, surtout si vous utilisez comme ici un ruban de coton style dentelle au fuseau. Si au contraire vous utilisez du satin, je vous conseille de fixer le ruban enroulé avec un point de colle sur l’arrière de la tige.

5. Terminez avec un second petit ruban… ou pas, selon les envies! Celui-ci à l’avantage de bien serrer le tout et de s’assurer que le premier ruban restera bien en place.

Et pour la garder belle jusqu’au petit matin…

– Commencez avec des végétaux frais et qui ont pu “boire” tranquillement de l’eau fraîche pendant au moins 24h.

– Choisissez des fleurs et de la verdure qui tiennent longtemps sans eau: pivoines, roses, craspedias, succulentes… en cas de doute, faites un essai quelques jours avant et portez la boutonnière tout une journée.

– Réalisez la boutonnière le plus tard possible, ou au plus tôt la veille en prenant bien garde de la stocker au réfrigérateur enrobée dans de l’essuie-tout vaporisé d’eau fraîche et enfilé dans un sac ziploc bien fermé.

– S’il fait vraiment très chaud, ajoutez un petit morceau de coton humide (mais juste humide, pas détrempé au risque de faire des taches!) à la base des tiges et recouvrez-le fermement avec le floratape à l’étape n°2. Les fleurs auront ainsi de quoi boire toute la journée…

Quand elle était petite, Laetitia était ingénieure. Arrivée à maturité, elle s’est dit que “Fleuriste Troubadoure” c’était quand-même bien plus pétillant sur une carte de visite que “Chef de projet”. Après un détour par l’Ecole de Fleuristes de Paris en 2010, elle a donc fondé Florésie. Aujourd’hui, elle habite à la campagne près de Reims d’où elle chronique, blogue ses histoires de fleurs, enseigne l’art-floral et décore vos mariages partout en France et en Suisse avec les petites merveilles cultivées dans son jardin…

Vous êtes douée de vos petites mains, vous avez des idées de diy, de tutos et envie de les partager sur Un Beau Jour ? Envoyez nous un mail avec une petite idée de projet à diy@unbeaujour.fr, mais avant, n’oubliez pas de consulter notre petit guide des publications !

J’ai souvent vu passer des commentaires demandant où l’on pouvait trouver ces fameux sachets en papier translucide. De nombreuses boutiques en ligne les proposent, mais souvent en petites quantités et pour un prix relativement élevé. Voici donc aujourd’hui de quoi les fabriquer vous même, à partir, tout simplement, de papier sulfurisé. J’ai aussi ajouté de petites étiquettes à télécharger, mais bien entendu, vous pouvez tout à fait utiliser les vôtres. Allez hop !

Vous aurez besoin :
– Du fichier à télécharger et imprimer
– D’un bâton de colle type UHU
– D’un cutter et d’une règle
– De gros confettis ronds
– Et surtout de papier sulfurisé

1. Une fois que le fichier est imprimé glissez le patron en papier sous une feuille de papier sulfurisé que vous fixerez à votre plan de travail.

2. Décalquez, tout simplement, votre patron sur le papier sulfurisé. Ici, j’ai utilisé des traits pleins, mais si vous vous sentez assez à l’aise pour cela, je vous recommande plutôt de tracer uniquement les traits de coupe : c’est plus rapide et le résultat est plus propre.

3. Découpez soigneusement tout cela au cutter.

4. Pliez fortement chaque rabat vers l’intérieur. Le papier semble un peu rebelle à première vue, mais il est très docile, en réalité.

5. Collez les rabats à la colle en bâton : le rabat de la longueur, puis celui de la largeur et enfin le grand rabat. Attention, pas de double face ici : il n’adhère pas au papier sulfurisé.

6. Remplissez votre petit sac de jolis confettis. Ici, j’ai fait moi-même les confettis en utilisant une perforatrice ronde, mais vous pouvez évidemment vous les procurer dans le commerce. Par contre, n’hésitez pas à utiliser cette méthode si vous recherchez une couleur bien particulière : comme on empile plusieurs épaisseurs de papier, ça va très vite.

7. Il ne vous reste plus qu’à coller les étiquettes fournies dans le fichier. Petite recommandation au moment de les couper : je vous conseille de les plier avant de les couper, sinon vous perdrez les repères de pliage. And voilà.

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Voilà un bon moment que je garde en mémoire le DIY du “Verre nuage” qu’avait imaginé Vert Cerise, il y a quelques années. Dessiner sur des verres en utilisant des feutres Posca, quelle brillante idée ! Le dessin tient parfaitement, n’abime pas le verre et s’enlève à l’aide d’un simple chiffon humide. Ce qui signifie que vous pourrez vous amuser à personnaliser les verres (loués, le plus souvent) de votre belle journée sans aucune difficulté et surtout sans risque.

Voici, pour cet exemple, comment j’ai procédé. C’est si simple que j’aurais presque pu me passer de vous montrer le pas à pas…

Vous aurez besoin :
– De verre (en verre de préférence, je ne me suis pas risquée à essayer sur du cristal)
– De feutres de la marque Posca

Avant toute chose, un petit point sur les feutres Posca. Ce sont ces feutres que l’on trouve, dans les magasins spécialisés dans les beaux arts, dans une sorte de boîte noire, verrouillée, et qui ressemble à un réfrigérateur. Je ne sais pas vraiment quelle est leur particularité, si ce n’est que ce sont des feutres à base d’eau. Il est très possible que ce projet fonctionne avec les feutres d’une marque différente, par exemple avec les crayons “craie” utilisés par les restaurants, mais ne les connaissant pas, je ne sais pas quoi vous conseiller (si vous avez des pistes, ça nous intéresse).

Pour ce projet, j’ai utilisé un feutre à pointe moyenne (PC-5M), mais il existe une multitude de pointes, plus fines ou plus épaisses. Quand à la gamme de couleurs, elle est vraiment très étendue, impossible de ne pas trouver son bonheur. Voilà pour la petite intro.

Comme vous le voyez, le principe est vraiment simple : dessinez, laissez sécher, utilisez et nettoyez à l’eau ou à l’aide d’un chiffon humide. Il n’y a rien de plus simple.

J’ai donc détaillé ici comment j’avais dessiné cette petite banderole à main levée. Si vous n’avez pas le compas dans l’oeil, pas de panique : vous pouvez aussi vous aider d’un guide line que vous imprimerez et fixerez au scotch à l’intérieur de votre verre. Vous n’aurez plus qu’à suivre le dessin.

Evidemment, me direz-vous : c’est un peu long, si on doit peindre une centaine de verres. Détrompez-vous : passés les premiers essais, qui demandent forcément un petit coup de main, ça va très vite. En deux heures, je dirais que c’est plié.

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Mieux vaut tard que jamais, n’est-ce pas, surtout lorsqu’il s’agit d’un projet aussi séduisant que celui que les Do It Yvette nous avaient concocté pour le Festival Andy : un Photobooth en origami qui brille de mille feux, facile à réaliser et qui en jette.

Si vous n’étiez pas parmi les quelques petits chanceux qui ont eu le plaisir de participer à leur atelier, voici une petite session de rattrapage en images. C’est parti!

Ce dont vous aurez besoin :
– des diagrammes d’origami à télécharger ici
– du papier pour origami de 3 couleurs différentes
– de colle
– un support rigide (bois, carton plume…)

1- Suivez les indications du fichier à télécharger pour créer deux losanges. Utilisez deux couleurs différentes.

2- Mettez vos losanges de côté et réalisez à présent deux pliages en triangle dans la même couleur de papier. Ensuite, assemblez tout simplement les deux triangles entre eux pour former le carré, base du motif.

4- Venez ensuite placer les deux losanges le long du carré. Collez sur le support les quatre éléments.

5- Répétez l’opération autant de fois que nécessaire !

Astuce pour créer le support du photobooth
(pour ceux qui ne veulent pas se lancer dans un fond en bois)

Vous aurez besoin :
– de feuille de carton plume (nombre à adapter selon la taille que vous souhaitez, en prévoir 3 de plus pour renforcer l’assemblage)
– de scotch large et robuste

1- Déposez sur le sol les feuilles de carton mousse de façon à créer un grand panneau de la taille souhaitée. Pour la taille, nous vous conseillons de voir grand. Pensez à votre cousin de 2 mètres qui n’a pas envie que sa tête dépasse du fond de votre photobooth et à vos cousins qui vont peut-être vouloir se prendre en photo à 7 en même temps.

2- Scotchez les feuilles bord à bord.

3 – Découpez des bandes de carton mousse d’une largeur de 5 cm dans la longueur dans les trois feuilles restantes et disposez les au niveau des jointures. Scotchez les pour renforcer la structure. Ne lésinez pas sur le scotch et les renforts : il ne faudrait pas que votre fond s’écroule au milieu de la soirée!

Crédits photos : Toutes les photos sont de Do It Yvette, sauf la photo d’introduction (Benoit Guenot) et la photo du Photobooth seul (Xavier Navarro).

A l’âge de 7 ans Laetitia cousait des cœurs sur ses doudous pour les soigner quand ils étaient malades. Pendant ce temps là, Amélie piquait la machine à coudre de sa mère pour habiller ses Barbies. Marjorie, quant à elle, produisait des kilomètres d’écharpes avec sa mini machine à tricoter.

Sans leurs blogs elles ne se seraient jamais rencontrées et Do It Yvette n’aurait jamais vu le jour. Ce qui aurait été drôlement dommage car cette association a pleins de projets et mille idées en tête pour faire connaitre le Do It Yourself.

Après le livre Do it Yvette, rempli de “recettes” créatives et faciles pour occupez vos 10 doigts de midinette, des kits DIY ont vu le jour et d’autres surprises devraient arriver prochainement. Rendez-vous sur www.doityvette.fr et doityvette.etsy.com.

La petite info en plus : le premier livre des Do It Yvette sera vendu à l’Hôtel Bohême les 25 et 26 mai !

Finalement, c’est l’effet de surprise qui ravit les invités : un faire part inattendu, une petite attention divertissante, un jeu surprenant… C’est ce qui m’a fait penser à ces marque place qui ont l’apparence… d’une loterie. Et puis voilà un moment que je voulais vous proposer un projet incluant une carte à gratter. C’est enfin chose faite.

Pour réaliser ces tickets à gratter, vous allez avoir besoin de pas mal de matériel, mais rassurez-vous, rien d’introuvable ni de compliqué.

Le matériel qu’il vous faut :
– Les fichiers à personnaliser et imprimer
– Du papier kraft et du bristol
– Une agrafeuse
– Un cutter et une paire de ciseaux
– Du papier crépon argenté
– Du double face
– Du scotch pour cartons de déménagement transparent (env. 5cm de largeur)
– De la peinture acrylique argentée
– Du liquide vaisselle
– Du papier sulfurisé
– Des pinceaux
– Une perforatrice ronde de gros diamètre

1. Commencez par éditer le fichier téléchargeable selon vos propres besoins. Imprimez la couverture sur du papier kraft (il passe parfaitement dans une imprimante à jet d’encre) et les tickets sur du papier bristol. La police utilisée pour inscrire les noms des tables, dans cet exemple, est la Sancreek. Ensuite, découpez selon les traits de coupe et pliez selon les pointillés.

2. Vous pouvez maintenant assembler vos tickets de loterie, comme sur la photo : pliez le rabat, insérez la carte à gratter et agrafez, tout simplement.

3. Nous allons maintenant préparer les autocollants à gratter. Dans un bol, mélangez une part de liquide vaisselle pour deux parts de peinture acrylique argentée. Ensuite, étalez sur votre plan de travail une grande longueur de papier sulfurisé et recouvrez le papier de longues bandes de scotch de déménagement, que vous espacerez d’un centimètre.

4. Recouvrez toutes les bandes de scotch de votre mélange “peinture/liquide vaisselle”. Trois couches, au moins, seront nécessaires pour obtenir une surface bien opaque.

5. Laissez sécher environ une heure entre chaque couche avant de peindre la suivante et laissez bien sécher avant de passer à l’étape suivante. Le papier sulfurisé n’adhère pas à la colle, ainsi vous n’aurez aucune difficulté à séparer le scotch qui n’aura rien perdu de son pouvoir collant, exactement à la façon du papier brillant sur lequel sont plaqués tous les autocollants.

6. Lorsque vos bandes sont sèches, découpez dans le scotch argenté le nombre de pastille dont vous avez besoin (en toute logique autant que le nombre d’invités) à l’aide de la perforatrice. Et voilà, vous avez désormais vos stickers à gratter.

7. Collez une pastille sur chaque ticket à gratter en suivant le trait pointillé imprimé sur ceux-ci.

8. Coupez à présent une “tranche” d’environ deux centimètres d’épaisseur dans un rouleau de papier crépon argenté et, comme sur la photo, découpez de petites bandelettes sur toute la longueur du ruban obtenu.

9. Fixez une bande de double face sur toute la surface du rabat.

10. Collez deux bandes de papier crépon découpé, en les faisant se chevaucher et en commençant toujours par la bande du dessous. Et ouf ! Cette fois c’est terminé.

A propos du mélange “à gratter”
J’ai fait plein (mais vraiment plein) d’essais ratés avant de parvenir à un résultat satisfaisant, persuadée que le problème provenait du mélange “peinture/produit vaisselle” jusqu’à ce que je comprenne que le support était en fait l’élément clef de la réussite du projet. D’après mes essais, seul le scotch brillant transparent vendu au rayon “déménagement” des magasins de bricolage est vraiment efficace. Tout le reste s’est révélé d’une consternante inefficacité.

Comment organiser votre loterie
J’aime bien le côté potache de ce projet : l’idée que les invités imaginent qu’il s’agit d’une véritable loterie pour déterminer qui est assis à côté de qui. Cependant, dans la pratique, une véritable loterie serait peut-être un projet un peu risqué pour ‘ambiance de la soirée. Il s’agit donc de faire comme s’il s’agissait d’une loterie, mais en s’assurant que chaque invité possède le ticket qui lui attribuera la bonne table.

Pour que tout fonctionne selon vos souhaits, voici comment je vous propose de procéder : une fois que votre plan de table est arrêté, réalisez tous les tickets de la table n°1 et envoyez-les, par courrier, à chacun des invités de ladite table, en spécifiant qu’il est interdit de gratter le ticket avant le jour J. Procédez ensuite de la même façon pour la table n°2 etc… De cette façon, aucun risque d’attribuer à tante Jeannine un ticket pour la table de petits fous constituée par vos copains de fac.

Bon et inutile de vous dire que vous pouvez utiliser les tickets à gratter pour mille et un projets, j’avais aussi envie, tout simplement, de vous expliquer la technique. Amusez-vous bien!

Et pour aller avec…
Vous pouvez utiliser ces petites boîtes imaginées par Majenia, qui s’accorderont bien à l’esprit de ces tickets à gratter : j’avais tellement aimé son idée de petites franges en papier que je l’ai reprise ici.

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Et pour vous aider à comprendre comment nous sélectionnons les projets que nous publions, pensez à consulter notre petit guide des parutions avant de nous envoyer vos idées!

J’adore cette petite astuce qui permet de transformer n’importe quelle enveloppe un peu basique en un écrin ravissant, par exemple pour un faire-part.

Elle s’adapte en un rien de temps à toutes les enveloppes dont le rabat est en V (pour les autres, c’est un petit poil plus compliqué à réaliser) et même si vous n’êtes pas réputée pour votre sens du bricolage, vous ne risquez pas de vous louper.

Le matériel dont vous avez besoin :
– Les enveloppes de votre choix
– Le papier avec lequel vous souhaitez les doubler
– Une paire de ciseaux / un cutter
– Une règle
– De la colle de bureau

1. Retournez le papier imprimé sur l’envers, fixez-le sur votre support de travail pour éviter qu’il ne bouge et superposez votre enveloppe ouverte (vous pouvez la fixer, elle aussi, avec un peu de masking tape).

2. Reportez les contours de l’enveloppe sur le papier, à la règle et au crayon à papier.

3. Vous devriez obtenir, comme ici, un patron en forme de maison.

4. Avant de le découper, réduisez la hauteur de la base de 1 à 1,5 cm, en fonction de l’épaisseur de bordure que vous désirez garder. Coupez aussi environ deux millimètres de chaque côté, comme sur la photo, afin de réduire la largeur de votre “doublure”.

5. Il vous suffit à présent de la découper, de préférence au cutter pour des coupes bien nettes.

6. Glissez votre doublure dans l’enveloppe et ajustez le papier pour que celui-ci se positionne bien dans l’alignement de la pointe.

7. Lorsque le résultat est satisfaisant, il ne vous reste plus qu’à coller la partie supérieure (le rabat). Inutile de vous casser la tête à coller l’intérieur de l’enveloppe, cela tient parfaitement de cette façon.

8. Et voilà ! Hey, on dirait que c’est déjà prêt !

Ces derniers temps, j’ai vu passer plusieurs projets qui expliquaient comment peindre sur des marshmallows. Les résultats en photo sont toujours jolis, mais dans la réalité la “peinture” rend la guimauve collante et l’effet buvard empêche de dessiner avec précision.

Je ne lâche pas l’affaire et j’espère bien vous proposer bientôt un DIY sur ce thème, mais en attendant, mes différents essais m’ont conduite à cette alternative, qui n’a rien à voir, mais que j’aime tout autant – sinon davantage – et qui pourra vous servir pour une multitude de projets gourmands : comment réaliser des crayons de couleur pour marshmallows, à encre comestible.

Ce dont vous avez besoin :
– De marshmallows (des petits et des grands)
– De sucre glace
– D’un blanc d’œuf
– De colorant alimentaire en gel
– Un paquet de petits sacs pour congélation

Avant d’aller plus loin, quelques précisions sur les fournitures :

– Vous trouverez facilement des petits marshmallows blancs au rayon “Amérique” de votre supermarché qui sont parfaits pour cela. On en trouve aussi parfois au rayon pâtisserie, ils sont multicolores et vendu à prix d’or, je vous les déconseille donc. Si vous n’en trouvez pas, n’hésitez pas à regarder en ligne, plusieurs épiceries américaines en proposent.

– Concernant le colorant alimentaire, vous pouvez utiliser celui que l’on trouve traditionnellement en supermarché sous forme liquide. Pour ma part, je vous conseille vivement le colorant en gel (vous en trouverez facilement sur internet, j’ai trouvé les miens sur le site de Mora). Je vous recommande également d’acheter le coffret “multicolore” qui vous reviendra bien moins cher que l’achat à la couleur. J’ai acheté celui de la marque Wilton (8 couleurs) qui est parfait. De plus, les colorants en gel étant très concentrés, je pense avoir de quoi tenir environ toute mon existence avec ce petit coffret.

– À propos des sacs de congélation : ne les choisissez pas trop grands, c’est inutile, mais prenez-les de bonne qualité car nous allons les malmener et il faut qu’ils soient un peu résistants.

À présent, voici comment procéder :

1. Dans un récipient, versez le blanc d’œuf. Pour vous donner un ordre d’idée, sachez qu’avec un blanc d’œuf, vous obtiendrez une grande quantité d’encre de couleur : environ 500gr. Ce peut être utile si vous travaillez en grande quantité et que vous êtes plusieurs à dessiner en même temps, ou que vous avez besoin de plusieurs couleurs. Si ce n’est pas le cas, travaillez, comme dans l’exemple en photo, par cuillerée à café : ici, j’ai utilisé deux cuillères à café de blanc d’œuf pour un “crayon”.

2. Tamisez le sucre glace. Quelle que soit la quantité de blanc d’œuf choisie, ajoutez le sucre progressivement en fouettant à l’aide d’une fourchette, jusqu’à obtenir un mélange lisse et brillant, sans grumeaux (très important).

Vous devez arriver à un mélange souple, ni trop liquide, ni trop épais : lorsque vous cessez de mélanger, les traces de la fourchette disparaissent rapidement. Si votre mélange est trop fluide, ajoutez un peu de sucre, s’il est trop épais, un peu de blanc d’œuf.

3. Ajoutez maintenant le colorant. Si vous avez choisi d’utiliser du colorant liquide traditionnel, prenez en compte le fait qu’il liquéfiera légèrement votre mélange. Si vous utilisez du colorant en gel, ayez la main légère : ceux-ci sont très concentrés et une pointe de couteau suffira à colorer efficacement le mélange. Au besoin, ajoutez progressivement le colorant en gel, pointe de couteau après pointe de couteau.

4. Fouettez votre mélange à la fourchette jusqu’à obtenir une couleur uniforme, brillante et lisse.

5. Ouvrez un sac de congélation et choisissez l’un des deux coins. Versez-y, à la cuillère, votre “encre alimentaire” (oui, évidemment, c’est un glaçage, mais “encre”, c’est tout de suite plus amusant, non?). Malaxez légèrement pour chasser l’air et twistez le sac, comme sur la photo.

À présent, attention, étape délicate : il faut couper la pointe du sac pour permettre à l’encre de s’écouler. Coupez le plus petit possible, pour obtenir la pointe la plus fine possible. Au besoin, utilisez la pointe d’une aiguille. Vous n’avez plus qu’à dessiner, écrire, tatouer… vos petits marshmallows.

Quelques conseils pour le dessin :

Vous trouverez peut-être d’autres recettes de glaçages comme celui-ci, mais à base d’eau en remplacement du blanc d’œuf. Cela fonctionne aussi très bien et aura l’avantage de se conserver plus longtemps. Mais cette méthode au blanc d’œuf possède un gros avantage : elle sèche très rapidement. Vous pourrez donc, après quelques heures, enfermer vos œuvres dans de petits sachets (si vous prévoyez par exemple de les offrir à vos invités) et les manipuler comme vous voulez.

Entraînez-vous quelques minutes sur du papier sulfurisé avant de vous lancer, il y a un petit coup à prendre pour dessiner tout en pressant légèrement le sachet afin de faire sortir l’encre avec régularité.

Au bout d’un moment, vous constaterez peut-être que l’orifice du sac s’élargit et que vos traits sont de plus en plus épais. C’est normal, la pression exercée sur le plastique le déforme. Donc n’hésitez pas à transvaser votre mélange dans un nouveau sachet dès que celui-ci devient moins précis.

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Voilà un moment que je réfléchis à ce billet. J’ai constaté que, souvent, celles qui désiraient se lancer dans la confection de petites (et grandes!) choses faites main pour leur jour J étaient… mal équipées.

Je veux dire par là : Un, que l’on sous estime trop souvent l’importance de la qualité des outils que l’on utilise ; on se contente généralement de ceux que l’on a sous la main sans se préoccuper vraiment de leur efficacité. Deux, que l’on ne prend pas la peine d’investir en nombre suffisant. Voici donc aujourd’hui la liste des cinq outils indispensables – à mon avis – pour organiser efficacement vos séances créatives :

Les cutters
On a presque toujours besoin de cutters. Il existe des cutters dits « à doigts » (l’extrémité du manche se glisse, comme une bague, à l’index) dont la prise en main facilite beaucoup de travail de précision. Depuis que je les ai découverts, je n’utilise plus que ceux-là. À ma connaissance, seule la marque Fishkars en commercialise en France.

N’hésitez pas à changer régulièrement les lames dont le tranchant s’émousse rapidement. Si vous devez repasser plusieurs fois sur chaque découpe d’un projet donné, multipliez encore le nombre de découpes par le nombre d’objets que vous souhaitez réaliser… En clair, vous pouvez, avec cette simple précaution, gagnez deux, voire trois fois plus de temps.

Si votre projet nécessite des coupes arrondies, optez pour des cutters à têtes rotatives qui sont conçues pour cet usage précis. Ils demandent un petit moment de prise en main, mais une fois que vous avez compris le truc, c’est tout simplement magique.

Les ciseaux
N’hésitez pas à investir dans plusieurs paires de ciseaux. Vous en trouverez facilement au rayon « fournitures scolaires » de votre grande surface pour un prix très modique et ceux-ci coupe généralement très bien. Ce qui compte, c’est de les renouveler, sans vous poser trop de question, si ceux-ci ne sont pas parfaitement coupants. Mes préférés viennent de chez Muji, ils coupent extrêmement bien et comme ils ne sont pas trop chers, je n’ai aucun scrupule à en racheter de nouveaux régulièrement.

Par contre, si vous prévoyez d’avoir à découper des surfaces collantes (adhésif double face, masking tape…) n’hésitez pas à investir dans une paire de ciseaux en titane, certes plus onéreuses, mais qui sont conçues pour ne pas retenir les matières adhésives (capables de rendre inopérante la lame traditionnelle la plus tranchante en quelques coups de ciseaux seulement). Sinon, attribuez une paire et une seule paire de ciseaux à la coupe des matières adhésives.

La règle graduée
Ne sous-estimez pas l’importance de cet instrument tout simple. En tout premier lieu, choisissez les suffisamment longues : si vous travaillez à partir de feuilles de papier A4 (le modèle standard du papier machine), 30cm minimum seront nécessaires pour couvrir toute la longueur de la page.
Le matériau a, lui aussi, son importance : les règles métalliques donnent les meilleurs résultats car les lames utilisées pour la découpe ne risquent pas de les abimer. Évitez les règles en résine ou en plastique qui se détériorent rapidement.

Le plan de travail
Vous pourrez vous procurer des plans de travail dans tous les magasins de loisirs créatifs ou d’arts plastiques, il en existe de plusieurs tailles. Il vous permettront de gagner beaucoup en confort de travail : la matière plastique caractéristique de ces surfaces empêche les matériaux que vous utilisez de glisser, donc les faux mouvements.

De plus, leur surface est conçue pour résister aux lames des cutters. Si vous avez l’habitude d’utiliser de vieux cartons pour confectionner une surface de travail de fortune, cet instrument va changer votre vie.

Les adhésifs
Vous trouverez dans le commerce un grand nombre de colles adaptées à mille usages différents : papier, bois, tissu… Ces colles sont d’une grande efficacité, mais elles ne répondent pas à l’un de vos impératifs, dans le cas présent : la rapidité d’exécution (il faut attendre que la colle sèche). Pour contourner cette difficulté, n’hésitez pas à utiliser de l’adhésif double face, chaque fois que vous le pouvez.

Ceux que l’on trouve dans les magasins de loisirs créatifs ont le mérite de proposer une multitude de formats, largeurs et découpes intéressantes. Mais pour faire des économies, n’hésitez pas à vous tourner du côté des adhésifs dédiés au bâtiment : pour salles de bains, sols plastiques ou moquettes (dans les magasins de bricolage). Moins chers et surpuissants, ils peuvent vous rendre de très (trèèèèès) grands services.

Last but not least : Le bon nombre
Avant de commencer votre projet, quel qu’il soit, n’oubliez pas que vous aurez souvent besoin de fabriquer les choses en grand nombre et de l’aide de vos amis. C’est peut-être la chose la plus importante que vous devez garder en mémoire au moment d’élaborer votre projet. Il faudra donc que vous prévoyiez chacun des outils dont vous aurez besoin en nombre suffisant : rien ne fait perdre davantage de temps que d’attendre que votre voisin est terminé sa découpe, pour pouvoir lui prendre la paire de ciseaux.

Ainsi, si vous prévoyez des après midi “craft” à plusieurs, prévoyez également un petit kit d’outils de base pour chacune de vos petites mains. Vous gagnerez de cette façon un temps précieux. Évidemment, cela vous fera dépenser un peu d’argent – une centaine d’euros tout au plus, mais je vous promets que le jeu en vaut largement la chandelle et, si l’on tient compte du budget global de la décoration, cela représente une part infinitésimale de vos dépenses donc vraiment, n’hésitez pas.

Si vous avez, vous aussi, vos petites astuces persos pour travailler vite et bien, n’hésitez pas à nous en faire part dans les commentaires!

Crédits photos : Photo d’en-tête, photos 3 et 4 – Martin Condomines, Photo 2 – Ela & the Poppies (photos prises à l’occasion du festival Andy)

Pourquoi ne pas allier lecture et gourmandise ? 

Cette semaine, je vous ai préparé un projet très rapide à réaliser et qui, d’après ce que j’ai pu voir, remporte tous les suffrages auprès des invités, que ce soit les potes, les parents ou la famille. C’est gratuit (mis à part la tablette de chocolat), c’est original, et c’est bon !

Il s’agit d’un “Save the date” à manger – mais vous pouvez tout à fait imaginer une version “faire part”. L’idée est toute simple : le Save the date sert de packaging à une tablette de chocolat : imprimez le texte de votre faire part et coller le sur le papier d’alu de la tablette. Voici comment procéder…

Vous avez besoin de :
– Une tablette de chocolat par Save the date.
– D’une bonne imprimante
– Du fichier à télécharger et imprimer
– D’une paire de ciseaux et de colle

– Commencez par ouvrir le fichier .pdf à télécharger dans un logiciel de retouche d’image, type Photoshop ou the Gimp. Le logiciel va transformer, spontanément, le fichier en image. Il est important de charger l’image en une taille suffisante et dans une résolution suffisante. Par exemple comme cela :

– Remplissez les espaces laissés en blanc : en haut le nom des mariés, en bas, la date. Pour le nom des mariés, j’ai utilisé la police “Simon Script Regular” et pour la date, la Police “Lullaby”. Mais vous pouvez utiliser celle qui vous plaît.

– Ensuite, pour faire correspondre le Save the date aux couleurs de votre journée, vous pouvez vous amuser à modifier les couleurs. Il existe mille et une façon de procéder, mais en voici une qui permet de faire beaucoup de choses sans se fouler : la commande balance des couleurs (Pomme + B, sur Mac). Vous pouvez tester de nombreuses combinaisons de nuances en ajoutant ou enlevant du bleu, du rouge, du jaune… C’est de cette façon que j’ai obtenu les trois tablettes que vous voyez en photo, à partir du document imprimable.

– Lorsque vous êtes satisfaite,sauvegardez au format .jpeg et imprimez en haute résolution. Si vous le pouvez, utilisez une imprimante laser qui gère mieux, à mon avis, les aplats de couleurs que les imprimantes à jet d’encre.

– Enlevez maintenant le carton d’emballage de votre tablette de chocolat. Sur cet exemple, j’ai utilisé du chocolat au lait Lindt de la gamme Lindt Excellence, car la tablette et fine et large… et que le patron tenait sur une feuille A4. Mais vous pourrez adapter le faire part à votre propre tablette en le recoupant si besoin.

– Découpez maintenant les bords blancs de votre fichier et vous n’avez plus maintenant qu’à le coller, tout simplement, autour de votre tablette. C’est aussi simple que ça !

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Je suis contente de vous présenter aujourd’hui le projet de Pauline, du blog les Enchantées, qui ravira probablement celles qui sont un budget mini mini pour leur jour J.

Pauline a proposé de nous donner plein de petites astuces pour transformer un ensemble de lingerie achetée à petit prix. Personnaliser de la lingerie me paraissait quelque chose de compliqué et j’ai eu plaisir à réaliser que l’on pouvait obtenir facilement quelque chose de bien. Regardez plutôt…

Le matériel dont vous avez besoin :
– Un ensemble de lingerie neutre
– Un coupon de jolie dentelle
– Quelques centimètres de ruban de satin
– Du fil coordonné
– Des épingles
– Un petit coupon de tissu
– Quelques breloques récupérées sur un ancien bijou ou trouvés dans une mercerie.

1. Commencez par positionner les dentelles, en les épinglant soigneusement à votre lingerie. Ensuite, il vous suffira de coudre une série de petits points à la main pour les maintenir. Cousez le ruban au milieu, en utilisant un fil parfaitement coordonné, en réalisant les plus petits points possibles et en faisant attention à ne pas trop tendre le fil pour ne pas risquer de faire gondoler le ruban.

2. Maintenant, on passe au petit nœud central. Coupez un petit rectangle dans le tissu et pliez-le en trois, sur la longueur. Ensuite, rabattez les extrémités vers l’arrière de façon à ce qu’elles se chevauchent légèrement. Retournez votre ouvrage et pincez le rectangle ainsi obtenu : vous avez la base de votre nœud. Cousez-le fermement pour le maintenir en forme (utilisez pour cela un fil résistant), puis cousez, au centre du nœud, une petite longueur de ruban coordonné à celui que vous avez choisi pour orner votre soutient-gorge.

3. Pour ajouter une petite breloque, rien de plus simple : il vous suffit de coudre ensemble les petites choses que vous désirez assembler et de terminer par un petit anneau. Vous n’avez plus qu’à coudre l’anneau à la base de votre petit nœud. Votre soutient gorge est prêt.

4. Vous pouvez aussi ajouter un petit quelque chose à la culotte pour coordonner votre ensemble. Utilisez pour cela une chute de ruban, formez deux boucles l’une sur l’autre et cousez-les ensemble à l’aide d’un petit point. Vous pouvez ajouter une breloque identique à celle utilisée pour le soutient gorge. Et voilà. Vous avez un exemple parfaitement coordonné à votre robe… sans vous ruiner.

Pauline a étudié à l’Ecole du Louvre. Elle est animée par l’idée que le bonheur, se travaille, se construit et se crée.

Elle se concentre sur les petites formules magiques du quotidien qui font pétiller la vie : un gâteau au chocolat, un lieu où l’on se sent bien, un bel objet, et surtout des choses à faire soi même, parce qu’être créatif, même un tout petit peu, ça rend heureux.

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Aujourd’hui, nous avons un petit cadeau pour toutes celles qui n’ont pas pu se rendre au Festival Andy… ou pour toutes celles qui on regardé avec envie l’atelier des enfants, mené par la douce équipe de Lait Fraise Mag. Elles nous avaient concocté un atelier DIY adorable : ces bannières à réaliser pour la signalétique de votre grand jour.

Le voici donc expliqué par à pas et en images, accompagné, bien entendu, de l’indispensable fichier à télécharger. Toutes les photos ont été réalisées le jour de l’événement par la talentueuse photographe d’Ela & The Poppies.

Ce dont vous allez avoir besoin :
– Du fichier téléchargeable et imprimable (attention, il est un peu lourd, ne vous en faites pas s’il est long à charger)
– Du papier pour imprimante un peu épais
– Une imprimante
– Des baguettes de bois (ou tuteurs pour plantes)
– Une petite scie
– De la peinture
– Du fil de coton ou de la laine de couleurs assorties
– Différents rubans (gros grain, dentelle…)

1. Imprimer les fichiers à télécharger sur du papier un peu épais. Les découper selon les contours.

2. Découper avec la scie la baguette à la largeur de la bannière. La peindre de la couleur de son choix. Découper 2 morceaux de ruban de la même longueur (environ 6 cm).

3. Les plier et les agrafer en haut de la bannière à égale distance des bords.

4. Glisser la baguette dans les 2 rubans.

5. Découper un morceau de fil de façon à pouvoir suspendre la bannière, le nouer aux extrémités de la baguette (en faisant des encoches avec la scie si besoin est), et couper le fil qui dépasse.

Lait Fraise, c’est le magazine online www.laitfraisemag.fr créé par des « mamans terribles » pour partager avec simplicité des idées pratiques, des conseils ludiques, des recettes magiques, des looks en photo, des inspirations déco et des DIY rigolos pour toutes les mamans et futures mamans.

Lait Fraise, c’est aussi le magazine papier gratuit trimestriel avec toujours la même recette : le partage et la passion de l’enfance.

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Voilà un petit projet plutôt facile qui, j’en suis sûre, va vous donner envie de martyriser immédiatement la première gomme à effacer qui vous tombera sous la main. Car il se trouve que les gommes sont un matériau idéal pour s’amuser à confectionner sans trop de difficulté des petits tampons encreur maison.

Sur une base simple, vous pouvez vous amuser à dessiner plein de choses : formes plus ou moins élaborées, dessins personnels et même, si vous en avez la patience, des mots. J’adore leurs petites irrégularités. Et les tampons encreurs sont, à mon sens, un parfait compromis entre le “fait main” et le tout imprimé, lorsqu’on a quelque chose à reproduire en grand nombre.

Le matériel dont vous aurez besoin…

– Une gomme (ou une plaque de gomme spéciale, si vous avez la chance d’en trouver)
– Une gouge
– Un bon cutter
– Un crayon à papier
– D’encres pour tampon
– Éventuellement, de crayons à papier à embout de gomme

Avant toute chose, vous avez besoin, pour réaliser ce DIY, d’un petit outil spécial que vous trouverez facilement au rayon linogravure de votre magasin d’arts plastiques : une gouge. À ce stade, vous pensez probablement qu’un cutter est amplement suffisant pour ce que vous projetez de faire, mais croyez moi : c’est une erreur, la gouge facilitera votre travail de façon incomparable.

D’autant plus qu’une gouge basique ne vous coûtera pas très cher. J’ai trouvé la mienne (qui comprend le manche et cinq têtes) pour moins de sept euros chez le Géant des beaux arts, et je suis tentée de penser que celle-ci, chez Rougié Plé est du même modèle. C’est amplement suffisant pour ce projet. Et maintenant, les explications.

1.Commencez par dessiner votre dessin au crayon à papier (ou à l’aide d’un feutre très fin). Pour un premier essai, je vous suggère une forme simple qui vous aidera à vous familiariser avec le maniement de la gouge. Si vous désirez vous lancer dans du texte, n’oubliez pas de l’écrire à l’envers !

2. Choisissez maintenant l’embout le plus fin de votre gouge. Avant de vous lancer, n’hésitez pas à faire quelques essais sur une “gomme test”, afin de comprendre ce que vont vous permettre de faire les différentes têtes.

3. Tranquillement et aussi précisément que possible, évidez le contour de votre forme à l’aide de l’embout le plus fin. Pour vous aider, installez-vous dans une bonne lumière, qui ne jette pas d’ombre sur votre pointe (au risque de cacher le trait que vous devez suivre).

4. Une fois que vous avez effectué votre premier passage, recommencez, en creusant davantage la gomme et en commençant à évider tout ce qui doit l’être (n’oubliez pas les reliefs internes à votre forme, comme ici les plumes de la flèche).

5. Vous pouvez maintenant passer à un embout plus large pour continuer à creuser, et vous aider si nécessaire d’un cutter pour évider ou corriger certains détails difficiles d’accès. Idéalement, votre tampon encreur doit avoir 1 à 2 millimètres d’épaisseur. Mieux vaut évider tranquillement et faire plusieurs passages que de creuser trop fort.

6. Votre tampon est terminé, vous n’avez plus qu’à le séparer du reste de votre bloc de gomme et à l’utiliser. À la première utilisation, vous verrez peut-être apparaître des petits défauts (un sillon mal creusé qui s’imprime, une découpe un peu hasardeuse…) c’est le moment de reprendre vos outils pour les corriger. Ensuite, à vous de jouer.

Note 1  : Le choix de la gomme est déterminant. Certaines gommes ne réagissent pas bien à la taille (elles sont élastiques, friables, dures…), d’autres, heureusement sont plus dociles. Une seule solution : tester différentes marques. D’après mes essais personnels, les gommes blanches Staedtler sont parfaites. Hélas, elles ont deux défauts : elles sont chères et le logo est imprimé sur chaque gomme, ce qui oblige à tailler dans l’épaisseur avant de commencer à travailler. Les gommes choisies dans l’exemple sont de la marque Maped et sont vendues avec un petit étui de plastique. Elles se taillent très bien et ont le mérite de n’être pas trop chères.

Note 2 : Pour les formes basiques, vous pouvez aussi vous amuser avec l’embout gomme de votre crayon à papier. Si vous le laissez rond, vous obtiendrez de gros confettis ronds. Ici, j’ai coupé une forme triangulaire dans le mien, en utilisant uniquement un cutter qui (exceptionnellement) convenait très bien pour cela. C’est lui que j’ai utilisé pour les petits fanions que vous voyez dans l’exemple.

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Si quelqu’un dans la salle a un nom plus joli à proposer que celui par lequel on a coutume de désigner ce qui suit (un gland, donc), nous sommes preneuses ! Bref. Aujourd’hui, j’avais envie de vous proposer une alternative (ou un complément) aux célèbres pompons de papier de soie.

Aussi facile à réaliser, aussi peu onéreux et qui habillent un espace en deux temps trois mouvements. Vous pouvez d’ailleurs les confectionner également en tissu, varier la taille, l’épaisseur ou la longueur… la liste des possibles est gigantesque. C’est parti :

Le matériel dont vous aurez besoin…
– De feuilles de papier de soie
– De tiges métalliques de jardinage
– De masking tape assorti au papier de soie
– D’un bon cutter
– D’une règle

1. Superposez deux ou trois feuilles de papier de soie, puis pliez-les en deux dans le sens de la longueur.

2. Au cutter et en vous aidant de la règle, coupez des bandes d’environ un centimètre de large (ne vous cassez pas la tête : si elles ne sont pas rigoureusement de la même taille, personne ne s’en rendra compte). Attention, pour éviter que le papier ne se déchire, n’hésitez pas à bien appuyer sur la règle graduée, au moment où vous coupez.

3. Gainez votre fil métallique de masking tape en l’enroulant, tout simplement, autour de la tige. Si vous ne trouvez pas de masking tape assorti à votre papier de soie, vous pouvez aussi utiliser, de la même façon, une bande de papier de soie, que vous encollerez à chaque extrémité de la tige.

4. Dépliez toutes vos bandes de papier et faites un tas aussi homogène que possible, en essayant de superposer le pli qui marque le milieu de chaque bande (je préfère vous prévenir : déplier les feuilles de papier de soie a tendance à taper un peu sur les nerfs, assignez-donc cette tâche à une personne patiente)

5. Pliez en U le fil métallique et faites une boucle avec le fil.

6. Glissez-y votre poignée de bandelettes de papier en faisant attention à les coincer au niveau du pli (qui marque le milieu des bandes).

7. Twistez votre fil métallique une fois ou deux, en serrant légèrement.

8. Coupez le métal qui dépasse (en général, une paire de ciseaux convient très bien, mais si vous disposez d’une pince coupante, ne vous privez pas) et égalisez éventuellement votre gland.

Votre premier pompon-gland est terminé. Évidemment, vous pouvez facilement en faire une guirlande en vous amusant à combiner les couleurs, mais ils se prêtent également à une multitude de petits (ou grands) projets déco : vous pouvez vous amuser à en semer partout dans les arbres, les suspendre au plafond à différentes hauteurs et en variant leur taille, ou, comme ici, en les utilisant en accumulation à la traîne de ballons que rien ne vous empêche de gonfler à l’hélium.

Pour les photos d’illustration, j’ai utilisé deux pompons de papier et un pompon de tissu (réalisé selon le même principe), ainsi qu’une petite lanterne de papier faite à la main (vous pouvez aussi y accrocher des sujets en origami, des mini lampions…) et quelques enfilades de perles de plastique Hama pour ajouter de la couleur. Les éléments sont tout simplement assemblés entre eux et au ballon, à l’aide d’un fil de coton.

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Aujourd’hui, je suis très heureuse de partager avec vous ce DIY proposé par la charmante (et talentueuse!!) Lætitia de Florésie, qui se définit elle-même comme fleuriste-troubadoure. Elle officie dans le nord de la France ainsi qu’en Suisse et ne ratez pas son blog qui fourmille de bonnes idées, de sources d’inspiration et de petits projets à faire soi-même à partir de fleurs fraîches. Il était donc tout naturel qu’elle nous propose de réaliser aujourd’hui une couronne de fleurs, de celles que l’on rêve toutes de porter au moins une fois dans sa vie… Merci beaucoup Lætitia !!

Le matériel dont vous aurez besoin…
– Du fil d’aluminium bouillon
– Un bon mètre de ruban
– Trois belle tiges de beargrass (herbe des ours) pour la structure
– Des fleurs: ici du wax, des roses branchues blanches et roses et des baies d’hypericum

1. Partagez le ruban en deux morceaux de 50 cm chacun.
2. Coupez ensuite le bout blanc des tiges de beargrass, puis liez les trois brins et un des morceaux de ruban avec le fil d’aluminium. Serrez-bien le fil d’aluminium pour assurer la solidité de votre couronne.
3. Tressez les trois brins de beargrass en une natte fine.
4. Terminez la natte de beargrass en la fixant au second morceau de ruban avec le fil d’aluminium.
5. Fixez les fleurs sur le tour de la natte avec le fil de fer d’aluminium. Enroulez simplement le fil autour de la natte et de la tige de la fleur en serrant bien fort.
6. Un fois la natte couverte de fleurs, la couronne est terminée… le ruban permettra d’ajuster la taille de la couronne à sa destinatrice et pourra être recoupé, au besoin.

Quand elle était petite, Laetitia était ingénieure. Arrivée à maturité, elle s’est dit que “Fleuriste Troubadoure” c’était quand-même bien plus pétillant sur une carte de visite que “Chef de projet”. Après un détour par l’Ecole de Fleuristes de Paris en 2010, elle a donc fondé Florésie. Aujourd’hui, elle habite à la campagne près de Reims d’où elle chronique, blogue ses histoires de fleurs, enseigne l’art-floral et décore vos mariages partout en France et en Suisse avec les petites merveilles cultivées dans son jardin…

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